Campagne municipale: le peuple dit 2XNON aux coupes budgétaires à plus de 60%

  • 5 juin 2016

Communiqué de presse du 5 juin 2016

Le peuple dit 2 X NON à la droite.
En votant 2 X NON aux coupes budgétaires, les habitant-e-s rappellent leur attachement fort aux prestations municipales, aux actions de cohésion sociale et à une culture vivante accessible à toutes et tous. Le Parti socialiste est très heureux de ce résultat qui témoigne des valeurs d’ouverture et de solidarité portées par les citoyen-ne-s de la Ville de Genève.

2xmerci

Prestations sauvées
Avec ce résultat, les citoyen-ne-s de Genève ont permis d’annuler les coupes votées en décembre 2015 par la droite PDC-PLR alliée au MCG-UDC. Ainsi, l’encadrement social, l’aide aux personnes précaires, le soutien à la culture, l’encouragement à l’économie sociale et solidaire ainsi que la lutte contre les discriminations sont désormais épargnés. «La population a clairement montré que cette décision était injuste, infondée, anti-sociale et anti-culturelle» se réjouit Olivier Gurtner, Président du Parti socialiste Ville de Genève.

Retour à la raison
En coupant dans la culture (sans toucher le Grand Théâtre) dans le social, et dans les « Biens, services et marchandises », la droite avait décidé de tailler 7 millions dans un budget 2016 pourtant bénéficiaire, de presque 8 millions. «Les partis de droite au Conseil municipal doivent écouter la voix du peuple et entendre sa volonté clairement exprimée de maintenir des prestations publiques de qualité et un tissu associatif riche et diversifié» déclare Sylvain Thévoz, Vice-président du PS municipal.

Une forte mobilisation
Avec presque 10 000 signatures récoltées pour chaque référendum, la participation de la société civile, l’engagement très important de Culture Lutte et toutes les actions menées par nos partenaires de l’Alternative (Les Verts, Ensemble à Gauche), le Parti socialiste tient à souligner l’incroyable mobilisation née pour dire 2 X NON aux coupes budgétaires. «Elle témoigne du large front citoyen réuni pour défendre une Ville qui vit» conclut Grégoire Carasso, chef de groupe.